TRANSPORTS DU FUTUR: UN HORIZON TOUJOURS PLUS VERT

Quand il s'agit du transport du futur et, plus précisément, de l'avenir du secteur des transports, il est impossible de ne pas mentionner le concept de durabilité environnementale. Il est donc nécessaire de trouver le juste équilibre entre les besoins financiers d'une entreprise et les limites de sauvegarde de notre écosystème planétaire.

C'est là que la "logistique verte" entre en jeu, ce terme peut être lu comme synonyme de logistique durable, un processus dédié à minimiser l'impact des opérations logistiques sur l'environnement.

Ces opérations comprennent les phases de transport, mais aussi celles d'approvisionnement, de gestion des stocks, de stockage et d'exécution des commandes.

Parler de logistique durable implique d'interpréter, d'organiser et de construire un modèle de développement en harmonie avec l'environnement et sa protection, et qui fait de cette harmonie le seul outil possible pour obtenir des processus de production à la fois verts et économiquement avantageux.

En Italie, le secteur des transports est responsable de 49% des émissions polluantes et la plupart des particules fines dispersées dans l'atmosphère proviennent du trafic routier.

L'Italie est le pays le moins "vert" d'Europe, où en moyenne les trois quarts du transport terrestre de marchandises s'effectuent par la route (76,4%) et moins d'un cinquième (17,4%) par le rail. La part restante (6,2 %) transite par les voies navigables intérieures.

Mais c'est aussi le pays où les coûts du transport routier lourd, au kilomètre parcouru, sont parmi les plus élevés d'Europe.

L'adoption d'un système de mobilité à faible impact environnemental est considérée comme une priorité pour l'amélioration de la qualité de vie des citoyens et pour la protection de la planète.

L'Italie se trouve à la croisée des chemins: transformer ou non la logistique d'aujourd'hui, pour un avenir plus compétitif et, surtout, plus durable?

L'IMPORTANCE DU TRANSPORT ROUTIER

De nos jours, on ne peut plus se passer d'interconnexions pour déplacer des produits, des services et des informations d'une partie du monde à une autre.

Lorsqu'il s'agit de transférer une charge physique, par exemple un véhicule, les services de transport sont fondamentaux, profitant des différents itinéraires mis à disposition par la nature et l'homme.

De toutes les solutions de transport, le terrestre est certainement le plus pratique.

Le transport ferroviaire est un système fortement dépendant de la présence de gares et d'une programmation stricte des trains. C'est donc une méthode rigide pour les entreprises qui ont besoin d'un service rapide et étendu.

La meilleure solution, apte à intégrer les options de transport maritime, ferroviaire ou aérien, et à utiliser en toute autonomie, est donc le transport routier.

Aujourd'hui, le réseau routier est tellement étendu et pénétrant, qu'il n'a laissé aucune zone à découvert. Pour cette raison, les entreprises, à la pointe des expéditions avec des charges entières ou des parties de celles-ci, sont de véritables professionnels de la mobilité et de la logistique.

Souvent, une série de services sont mis au service du client qui ne se limitent pas seulement à l'exécution de l'expédition, mais qui visent à protéger la cargaison et donc l'expéditeur et le destinataire.

L'un des services les plus populaires est celui qui permet de suivre l'expédition.  Le détenteur de la charge pourra évaluer l'itinéraire sélectionné par le transporteur, en s'assurant que l'itinéraire déjà parcouru est mis à jour en temps réel et en tenant également compte de la vitesse du véhicule et des arrêts éventuels. Ainsi, le suivi de l'expédition permettra d'évaluer le respect des délais de livraison prévus lors de la demande de devis.

Transports du futur. Vers une mobilité plus propre et plus intelligente

Les transports relient les gens, les cultures, les villes, les nations et les continents. Ils sont l'un des principaux piliers de la société et de l'économie modernes, car ils permettent aux producteurs de vendre leurs produits dans le monde entier et aux voyageurs de découvrir de nouveaux endroits.

Les réseaux de transport garantissent également l'accès à des services publics essentiels, tels que l'éducation et les soins de santé, contribuant à améliorer la qualité de vie.

La connexion aux réseaux de transport permet de stimuler l'économie dans les régions éloignées, en créant des emplois et de la richesse.

Le transport joue également un rôle décisif dans la formation de notre mode de vie.

En effet, il a un impact sur la disponibilité des produits et sur ce que nous consommons. Et nous tous utilisons les systèmes de transport pour nous aller au travail, à l'école, au théâtre et en vacances.

Cependant, notre modèle de transport actuel a ses inconvénients.

Le secteur des transports a un impact négatif important sur l'environnement et la santé humaine. Les transports génèrent un quart des émissions de gaz à effet de serre de l'Union européenne et provoquent une pollution atmosphérique et sonore ainsi qu'une fragmentation de l'habitat.

Plus concrètement, les transports sont le seul grand secteur économique en Europe dans lequel les gaz à effet de serre ont augmenté depuis 1990, et contribuent également à l'émission d'oxydes d'azote, nocifs pour l'environnement et la santé humaine.

Nous analysons ici le concept de mobilité durable, un système de transport idéal qui permet de réduire l'impact environnemental du secteur, tout en rendant les déplacements plus efficaces et plus rapides.

Lorsqu'un pays développe des projets de mobilité durable, il se fixe donc de multiples objectifs qui touchent à la fois à l'écologie et à l'environnement, et à la qualité de vie des personnes.

Les outils pour obtenir de vrais résultats dans le développement de la mobilité durable sont déjà disponibles et sont la technologie, l'innovation et le comportement des personnes.

Transport du futur pour les marchandises. Moins de coûts, plus de compétitivité

Le secteur des transports, aujourd'hui comme par le passé, représente une constante dans le débat politique et scientifique sur la durabilité.

Le vaste débat au niveau national et européen qui touche activement la question des transports urbains et extra-urbains depuis plus d'une décennie s’articule principalement autour des effets négatifs que la circulation quotidienne des personnes et des marchandises produit sur l'environnement et sur la qualité de vie.

En effet, le transport joue un rôle stratégique essentiel pour le développement économique et, en même temps, représente l'un des secteurs économiques qui exerce la plus grande pression sur les ressources environnementales et naturelles.

La prise de conscience des conséquences négatives sur l'environnement, dans les activités de transport, aurait dû produire des résultats concrets pour le rééquilibrage des facteurs en jeu. Cependant, il y a peu de signes d'amélioration des performances du secteur ou d'évolution vers des transports durables en Europe.  

Le Transport “routier” reste aujourd'hui la principale source de transport dans toute l'Europe et, bien que la crise économique actuelle ait ralenti la mobilité, la qualité de l'environnement apparaît de plus en plus compromise par le nombre croissant de véhicules circulant sur les routes et les autoroutes.

La pollution atmosphérique et sonore, la consommation des sols, la fragmentation du territoire et les interférences sur les écosystèmes et la biodiversité constituent souvent des "effets secondaires" des transports et le résultat naturel de politiques de mobilité non durables.

La mobilité durable représente aujourd'hui l'un des meilleurs outils pour équilibrer les besoins de déplacement des biens et des personnes. Avec ceux de la préservation de l'environnement en vue de protéger les générations futures. C'est pourquoi on comprend comment des modes de transport efficaces sont capables de réduire les externalités négatives du trafic des biens et des personnes, sur le plan économique, social et environnemental.

En Italie, l'organisation des transports se caractérise par la prédominance du trafic routier, avec l'utilisation prédominante des véhicules privés et avec de fortes conséquences économiques, sociales et environnementales négatives. Notre système est donc peu durable malgré les efforts pour améliorer cette réalité.

Il s'agit d'un système capable de concilier le droit à la mobilité avec la nécessité de réduire les externalités dites négatives (dont les émissions de gaz à effet de serre, le smog, les nuisances sonores, les embouteillages urbains et les accidents) qui s'y rattachent.

L'importance de créer des conditions appropriées pour accroître la compétitivité du secteur des transports et répondre de manière concrète aux défis permanents que la technologie et le marché imposent à nos entreprises, est souvent soulignée.

Réfléchir à de nouvelles solutions de transport de marchandises pour relancer un nouveau modèle de développement économique et durable, est plus que jamais une nécessité pour le transport routier.

 

Aujourd'hui, la demande de transport en Europe est nettement plus élevée qu'en 2000 et devrait continuer à croître.

Selon les estimations de la Commission européenne, d'ici 2050, le transport de passagers augmentera de plus de 50% et le transport de marchandises de 80% par rapport aux niveaux de 2019.

Une autre contribution des transports à la question de la protection de l'environnement est offerte par le transport intermodal, une forme particulière de mobilité durable.

Il s'agit d'un type de transport effectué à l'aide d'une combinaison de différents moyens qui a été défini dans le cadre du transport de marchandises comme «le mouvement de marchandises dans la même unité de chargement ou sur le même véhicule routier, qui utilise deux ou plusieurs modes de transport, et qui n'implique pas le traitement direct des marchandises dans les phases de transbordement modal»

Le transport combiné route/rail et, plus généralement, l'intermodalité a représenté et représentera dans les années à venir, une formidable solution pour acheminer les marchandises de manière efficace, sûre et dans le plein respect de l'environnement au sein du territoire national et européen.

Dans les périodes précédant et suivant les différentes phases de confinement qui ont eu lieu ces derniers mois, il a apporté un soutien précieux aux activités productives et commerciales, également considérées comme “non essentielles”, garantissant la mobilité des biens.

Le nœud de la question est représenté par la nécessité de redistribuer le trafic lourd, en limitant au maximum les trajets longue distance et en exploitant la flexibilité du transporteur routier pour desservir efficacement la distribution du premier et du dernier mile, tout en améliorant la disponibilité, la rapidité et la qualité du service intermodal. Ce qui représente déjà une alternative fiable et durable au transport routier traditionnel, sur les grands axes nationaux et internationaux.

Pour rendre ce transfert modal possible, il est nécessaire de s'inspirer des réalités qui ont entrepris avec succès cette voie, en obtenant des résultats concrets.

C'est le cas de la Suisse, qui au cours des 25 dernières années, a déplacé une part importante du trafic de marchandises de la route vers le rail, grâce à un ensemble de politiques et de financements innovants qui encouragent et facilitent la conversion, atteignant un ratio enviable de 72/28 entre rail et route, pour le trafic marchandises transalpin.

LES TRANSPORTS DU FUTUR

Le gouvernement italien et le ministère des Transports ont fait le point sur la transition énergétique dans la mobilité. Pour réduire les émissions de CO2, la voie italienne est celle de l'électrification complète des voitures, des motos et des véhicules utilitaires légers, tandis que les carburants alternatifs tels que l'hydrogène, les biocarburants, le biométhane seront uniquement destinés aux navires ou aux avions.

Ces indications ressortent du Rapport "La décarbonation des transports" "La décarbonation des transports" , préparé par la Structure de Transition Ecologique de la Mobilité et des Infrastructures (STEMI) du Mims, qui l'a préparé à atteindre les objectifs européens de réduction de 55% des émissions d'ici 2030 et leur mise à zero en 2050.

Selon le Ministère des Infrastructures et de la Mobilité durables (MIMS), afin de réduire les émissions déstabilisatrices du climat dans le secteur, les solutions technologiques basées sur l'électrification sont actuellement les plus prometteuses pour divers secteurs, notamment le transport routier.

Le biométhane, l'hydrogène vert, les biocarburants avancés et les carburants de synthèse, du fait de la faible capacité de production actuelle et des coûts élevés, pourront décarboner les transports plus difficiles à électrifier, comme le transport maritime et aérien.

De plus, si pour certains véhicules (voitures, camionnettes, bus, trains) des technologies alternatives sont déjà adoptables à grande échelle, pour d'autres (bateaux, avions et camions longue distance) l'expérimentation est toujours en cours. Il faudra, donc, continuer à investir dans la recherche et le développement.

Selon le rapport du Ministère, dans le segment des voitures, des véhicules utilitaires et des motos, les moteurs électriques à batterie (BEV) sont l'option la plus appropriée pour atteindre les objectifs en 2030, tant en termes d'efficacité énergétique que de réduction des émissions.

Déjà avec le mix énergétique actuel, en effet, le remplacement des véhicules à combustion interne, qui représentent aujourd'hui 99% du transport routier italien, par des véhicules électriques entraînerait une réduction de 50% des émissions sur le cycle de vie du transport routier léger pour notre pays.

Un résultat encore meilleur serait obtenu en augmentant la part de l'électricité produite à partir de sources renouvelables, comme déjà envisagé par le Plan National de Relance et de Résilience (Pnrr).

Même du point de vue des coûts, aujourd'hui la solution est déjà la plus réalisable étant donné que, sur l'ensemble du cycle de vie, le coût total de possession et d'utilisation d'une voiture particulière à propulsion électrique est inférieur à celui d'une voiture avec un moteur à combustion interne, et l'impact sur l'environnement est significativement plus faible.

Alimentation des véhicules électriques: les économies des transports du futur

Combien peut-on économiser avec un véhicule électrique ?

C'est la question que se posent de nombreux automobilistes ou professionnels, compte tenu également du fait que le coût du carburant ne cesse d'augmenter, ce qui a une influence considérable sur l'économie familiale.

Il faut également tenir compte du fait que les anciens moteurs diesel ou essence ont également un impact négatif sur l'environnement. Pour ces deux raisons, donc, nous ferions bien de nous demander combien il est possible d'économiser en passant à un véhicule électrique ou hybride.

Pour répondre à cette question, disons d'abord que ce type de voiture a un coût un peu plus élevé que les traditionnelles. Mais c'est un investissement qui peut certainement être amorti en quelques années.

De plus, ce détail ne doit pas être sous-estimé, en passant à un moteur électrique ou hybride, vous aurez la grande opportunité de pouvoir accéder à nouveau aux centres historiques ou en tout cas aux zones à trafic limité.

En ce qui concerne les économies concrètes, avant même de considérer les économies que l'électricité peut réaliser à la place du carburant, il faut savoir qu'il y a aussi d'excellentes nouvelles sur d'autres aspects.

Avec les véhicules électriques, en effet, dans certaines régions d'Italie, vous ne payez pas la taxe de circulation pendant les 5 premières années et vous ne payez même pas les lignes bleues pour le stationnement. L'entrée dans la ZTL est également gratuite pour les véhicules électriques.

Il y a aussi une autre perspective intéressante en termes d'économies, étant donné que dans les véhicules électriques, compte tenu de leur constitution, il y a plusieurs composants en moins que les voitures traditionnelles. Cela signifie que les coûts de maintenance sont également inférieurs.

Quant aux économies de carburant, il faut dire qu'une voiture hybride permet des économies au km d'environ 33% par rapport à une voiture qui roule à l'essence ou au diesel.

Dans le cas d'un véhicule électrique, en revanche, cette économie augmente considérablement jusqu'à 65%.

Pourtant, il est évident l'intérêt de passer à un moteur électrique ou hybride pour pouvoir faire des économies concrètes, et surtout pouvoir enfin circuler, diminuant drastiquement la qualité du CO2 rejeté dans l'environnement.

Incitations à l'achat de camions électriques en faveur des transports du futur

Actuellement, de nombreux moyens utilisés en Italie sont datés. Et, par conséquent, il faudra faire des investissements pour acheter différents types de véhicules.

Des réglementations de contrôle des émissions de CO2 des camions ont déjà été introduites en 2019.

La meilleure solution semble être l'introduction de véhicules à traction électrique pour minimiser l'impact environnemental. Malheureusement, cette solution implique des coûts de gestion plus élevés.

Certaines études dans le secteur laissent penser que face à une réduction de 40% des quantités de CO2 rejetées dans l'air, 40% de coûts supplémentaires seront engagés, y compris les coûts d'achat du véhicule et d'entretien.

De plus, en Italie, il n'existe actuellement pas de réseau adéquat de bornes de recharge, avec les difficultés de ravitaillement qui en découlent. Cela dit, nos transporteurs préfèrent toujours utiliser des véhicules à moteur diesel, bien que conformes à la réglementation en vigueur. Et ils espèrent pouvoir utiliser les moyens de dernière génération dans un laps de temps relativement court. Pour autant que les conditions soient réunies pour faire ce choix de manière consciente et avantageuse.

De nouvelles incitations pour l'industrie automobile arrivent du gouvernement.

Le dpcm signé par le Premier ministre Mario Draghi, a alloué, sur proposition du ministre du Développement économique Giancarlo Giorgetti, 650 millions d'euros par an, pendant trois ans, pour soutenir l'achat de véhicules plus durables.

L'écobonus comprend les véhicules pour le transport de marchandises, dont 10 millions sont attendus en 2022, 15 millions en 2023 et 20 millions pour 2024.

En faveur des petites et moyennes entreprises, y compris les personnes morales, effectuant le transport de marchandises pour leur propre compte ou pour le compte de tiers, sont prévues des aides à l'achat de véhicules utilitaires de catégorie N1 et N2, neufs, à alimentation uniquement électrique.

Les véhicules doivent être neufs et uniquement électriques, avec mise à la casse simultanée d'un véhicule d'une classe inférieure à Euro 4.

Les aides à l’achat sont réparties comme suit:

• 4 000 euros pour les véhicules N1 jusqu'à 1,5 tonne;
• 6 000 euros pour les véhicules N1 de plus de 1,5 tonne et jusqu'à 3,49 tonnes;
• 12 000 euros pour les véhicules N2 de 3,5 tonnes à 7 tonnes;
• 14 000 euros pour les véhicules N2 de plus de 7 tonnes et jusqu'à 12 tonnes.

Pour le ministre du Développement économique, les incitations sont une réponse concrète et attendue de la part d'un secteur qui traverse une crise profonde.

De plus, la mesure pluriannuelle permet aux entreprises de faire de la planification industrielle dans le sens du développement. Les incitations ne sont ni décisives ni permanentes. Il faut plutôt les entendre comme un outil d'urgence pour traverser la période difficile.

INNOVATIONS DANS LES TRANSPORTS ROUTIERS: TECHNOLOGIE APPLIQUÉE AU TRANSPORT DE MARCHANDISES

On vient de voir que l'avenir des transports sera de plus en plus multimodal et durable avec le PNRR qui met 25,4 milliards d'euros à disposition de la filière pour le développement du secteur.

Les transports seront de plus en plus liés à la technologie, ce qui encourage le développement multimodal, augmentant ainsi la durabilité du secteur. C'est la technologie, notamment numérique, qui permet d'assurer que l'expérience de déplacement multimodale, c'est-à-dire qui inclut plusieurs transporteurs, soit possible et utilisable.

Cette technologie, qui tourne autour de la mobilité et de l'intelligence artificielle, nous permet d'avoir toutes les données qui gèrent notre voyage, notre expédition.

Toutes les informations sur votre smartphone pour vous assurer qu'un voyage commence de la porte de sortie de votre domicile jusqu'au lieu de destination. C'est ce que la technologie permet aujourd'hui : une expérience fluide et intermodale.

Il sera donc important de se concentrer sur la multimodalité des systèmes de transport et sur un rééquilibrage modal de la route vers le rail. D'une intégration de la mobilité individuelle privée à la mobilité collective ou partagée. Par une planification intégrée, par des systèmes de mobilité urbaine intelligents et non polluants, jusqu'à la promotion d'une fiscalité intelligente pour inciter les usagers à changer leurs habitudes de mobilité.

Dans le transport aérien, par exemple, 75% des aéroports ont déjà l'intention d'investir dans des solutions telles que la biométrie. Parce qu'il économise 30% du temps. La même technologie convient également à d'autres formes de mobilité telles que les chemins de fer, les croisières ou les entrées à des événements, réunies sous le paradigme de l'intermodalité.

Le transport intermodal est la solution que l'Italie a choisie pour libérer les routes des véhicules lourds et s'orienter de plus en plus vers des modes de transport durables.

Ce que sont ces modes de transport alternatifs et durables est clair.

Les trains, tout d'abord, vers lesquels sont orientés la quasi-totalité des investissements :

• grande vitesse, pour que les biens et les personnes voyagent plus rapidement d'un bout à l'autre du pays:
• et grande capacité, car il est nécessaire de renforcer le système ferroviaire italien afin de supporter l'énorme charge de marchandises à transporter.

Même le transport maritime, ces dernières années, a pris des proportions gigantesques, non seulement pour les volumes de marchandises transportées, mais aussi pour la taille des navires qui sont devenus si gros qu'ils peuvent paralyser complètement le trafic mondial des marchandises.

Intermodal et transports du futur : les solutions de Trasauto Logistica

Il est désormais largement admis que les transports du futur, sur les routes européennes et internationales, seront essentiellement combinés.

La plupart des transports sont effectués par chemin de fer ou par mer, tandis que le mode routier garantit la collecte et la livraison du matériel dans les étapes initiales et finales du transport.

Le transport de marchandises est de plus en plus demandé avec le service de transport intermodal qui fait appel à des unités de chargement standardisées, telles que des conteneurs maritimes ou ferroviaires, afin de fluidifier et de sécuriser les procédures de changement de mode.

La sécurité et la fiabilité du transport sont en effet garanties, également grâce à la traçabilité des conteneurs à toutes les étapes du transport.

En choisissant la solution de transport intermodal de Trasauto Logistica, vous bénéficierez de nombreux avantages, par exemple:

• des coûts inférieurs, jusqu'à 25%, par rapport au transport routier;
• possibilité de charger une plus grande quantité de matériel, notamment dans le cadre de transports internationaux;
• un impact environnemental moindre par rapport au transport routier.

Le transport routier occupe généralement le premier et le dernier tronçon de ce mode de transport de charges et de marchandises, garantissant son efficacité.

La possibilité d'utiliser des conteneurs, également introduite pour l'intermodal, permet de transporter des marchandises, sans jamais avoir à les retirer, jusqu'à la destination finale.

C'est pourquoi, choisir le transport intermodal garantit un service moins cher, plus rapide et sûr.

Car les marchandises seront ainsi protégées des risques typiques du transport longue distance et la présence sur le territoire d'infrastructures telles que terminaux, ports et aéroports garantira la justesse des opérations logistiques.

Dans le cas du transport routier, par exemple, pour minimiser les kilomètres à parcourir, la bonne organisation des terminaux est nécessaire et assure l'excellente réussite des expéditions.

Les longues distances ne doivent pas être considérées comme un problème. Si la gestion des échanges et des passages est bien organisée, et les classes de distance sont identifiées pour chaque mode, l'efficacité du transport de marchandises sera maximale.

Qu'attendez-vous: contactez-nous, remplissez le formulaire pour un devis gratuit!

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Ou pour un support fidélisé, merci d’appeler nos bureaux en Italie au : +33 (0)9 88998258

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