LE SECTEUR DES TRANSPORTS S'ADAPTE AUX SOURCES D’ÉNERGIES RENOUVELABLES

Ces dernières années, les sources d'énergie ont pris de plus en plus d'importance dans le débat public sur la protection de l'environnement. Au niveau européen, des efforts sont faits depuis un certain temps pour promouvoir une utilisation croissante des sources renouvelables et pour arrêter d'utiliser les combustibles fossiles, qui sont responsables des émissions de CO2 dans l'air et, par conséquent, du changement climatique en cours.

C'est pourquoi le marché de la voiture électrique est florissant et en expansion exponentielle, préparant l'abandon des carburants traditionnels. Les bénéfices environnementaux associés à l'utilisation d'une voiture électrique, rechargée en énergie renouvelable, sont en effet nombreux.

Selon le récent rapport de l'AEE (Agence européenne pour l'environnement), pour restaurer la planète et protéger l'environnement, il est nécessaire d'agir pour atténuer les effets du changement climatique, en réduisant drastiquement la consommation des ressources naturelles.

Actuellement, nous disposons déjà des connaissances et des technologies nécessaires pour rendre durables les principaux systèmes de production et de consommation, y compris la mobilité et l'énergie.

LES SOURCES RENOUVELABLES ENTRE PRODUCTION DE COMBUSTIBLES FOSSILES ET SPÉCULATION

La mobilité, alimentée par des combustibles fossiles, selon le rapport Mal'Aria di Legambiente, rien qu’en Italie, est responsable de la pollution d'au moins 35 capitales provinciales. Concrètement, les villes concernées, avec une diffusion moyenne quotidienne de particules fines supérieure à 50 microgrammes/mètre cube (Pm10), ont dépassé la limite fixée par la Directive Européenne.

C'est un signal d'alarme, qui peut être évité en optant pour la mobilité verte.

Par conséquent, choisir une voiture électrique et l'alimenter par une énergie produite à 100% par des sources renouvelables est la meilleure façon d'aller dans la bonne direction.

 

Aujourd’hui, la dépendance de l'homme vis-à-vis des sources d'énergie à forte émission de CO2 est encore considérable. Du transport au chauffage domestique et à l'électricité, nous continuons de dépendre fortement des combustibles fossiles et d'autres processus qui en découlent pour mener notre mode de vie quotidien.

Aux États-Unis, par exemple, 80% de toute l'énergie est générée à partir de combustibles fossiles. La dépendance énergétique augmente en proportion directe avec la croissance économique des pays en développement, où l'amélioration de la qualité de vie augmente à son tour la demande d'énergie.

Par conséquent, une transition vers un mode de production d'énergie plus écologiquement et socialement acceptable, devient absolument nécessaire. La bonne nouvelle est que la transition a déjà commencé.

Le secteur des transports contribue à hauteur de 20% aux émissions mondiales totales de gaz à effet de serre.

Ce chiffre est notamment dû aux véhicules à forte consommation d'énergies fossiles que la plupart d’entre nous utilise au quotidien, émettant des gaz à effet de serre directement dans l'atmosphère. Si nous combinions la transition vers les énergies renouvelables avec un passage généralisé aux véhicules à faible consommation, tels que les vélos et les véhicules électriques, privés et publics, nous pourrions grandement contribuer à la réduction des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

La hausse du prix des carburant a poussé le marché vers les énergies renouvelables

Au cours de l'année écoulée, le prix à la pompe du gazole pour les transports a augmenté de 20,7%, avec un impact de surcoût de 535 millions d'euros pour les micro-entreprises et petites entreprises de transport de marchandises.

Un coup qui s'est entièrement déchargé sur les marges bénéficiaires et la valeur ajoutée des entreprises, considérant que les prix à la production dans le transport de marchandises, au troisième trimestre 2021, sont en baisse de 1,2% par rapport à l’année précédente.

Ce qui frappe le monde du transport routier, c'est un cyclone effrayant. Le mécontentement est généralisé dans les territoires, au sein des entreprises, et génère des phénomènes de colère qui risquent de déboucher sur des protestations incontrôlées.

Il y a un risque réel qu'il soit plus commode d'éteindre les moteurs plutôt que de continuer à voyager.

Le secteur en question est fondamental pour l'économie italienne. Dans notre pays, plus de 80% des marchandises voyagent par la route, et les véhicules dans les pires phases de la pandémie ont continué à voyager, garantissant l'approvisionnement en biens primaires.

Des milliers d'opérateurs sont aux prises avec la hausse des prix du carburant depuis un an et demi. Augmentation qui ces derniers mois a parcouru "un millier" et ne montre aucun signe de ralentissement.

Les augmentations vertigineuses des matières premières, électricité et gaz, concernent aussi le gazole, qui reste encore largement le carburant le plus prisé.

On parle de hausses généralisées de plus de 25% en un an que le secteur ne peut pas systématiquement renverser sur ses clients. Et, par conséquent, ils finissent par tomber, entièrement, sur les marges bénéficiaires déjà minces des entreprises.

Dans quelle mesure les augmentations progressives ont-elles affecté le portefeuille des consommateurs?

Mais que se passe-t-il maintenant avec la nouvelle augmentation et comment les citoyens européens réagissent-ils à ces dépenses supplémentaires? Après la hausse des factures d'électricité et de gaz, notamment en Italie, il faut prendre des mesures et trouver des remèdes ingénieux.

Ainsi, une enquête commandée par Facile.it à mUp Research montre que près d'un Italien sur deux a décidé de réduire l'utilisation de sa voiture ces trois derniers mois.

Selon les données de l'étude, en effet, 46% de l'échantillon interrogé a décidé de réduire l'utilisation des quatre roues, notamment pendant le temps libre, dans le but d'économiser de l'argent.

Évidemment, les stratégies adoptées par les citoyens de toute l'Europe sont différentes. 47% des cas, soit environ 120 millions d'individus, déclarent faire plus attention au choix de la pompe à essence. Alors que près d'1 automobiliste sur 3 a modifié son style de conduite en adoptant un style de conduite adapté à la réduction de la consommation de carburant. En fait, votre façon de conduire affecte grandement la consommation de carburant et avoir un pied lourd ou léger sur l'accélérateur peut faire la différence.

LE FUTUR COMMENCE PAR L'ÉLECTRICITÉ

Quand on pense à construire un avenir plus durable, il ne faut pas seulement penser à la mobilité électrique comme un nouveau moyen de transport écologique, mais plutôt au système énergétique dans son ensemble.

Ce n'est qu'ainsi qu'il sera possible de reconnaître le rôle clé du transport électrique, à la fois en tant que type de mobilité éco-durable accessible à des milliards de personnes dans le monde, et en tant que système capable de réguler et d'équilibrer les réseaux de distribution d'électricité, alimenté par sources renouvelables.

En d'autres termes, la mobilité électrique est un élément clé de la transition vers une société plus juste socialement et écologiquement.

Atteindre une plus grande part de sources renouvelables dans le mix énergétique mondial ou adopter un système de transport entièrement électrique, ne sera pas une tâche facile. Mais l'espoir est concret et se nourrit de projets communautaires et d'entreprises opérant sur le terrain.

L'électricité est un moyen de mobilité depuis près de deux siècles. Les voitures à batterie existaient avant même l'invention du moteur à combustion, sans compter les trains et les tramways.

Aujourd'hui, une nouvelle ère est sur le point de commencer. Et selon les experts, l'électricité sera de plus en plus répandue dans tous les secteurs du transport.

Jusqu'à il y a quelques années, dans le domaine des transports, l'électricité était principalement associée aux trains, aux tramways et aux trolleybus. Des moyens auxquels, depuis peu, se sont ajoutés les voitures électriques, les vélos électriques et d'autres solutions plus agiles de mobilité individuelle, comme les scooters électriques.

Mais ce n'est pas tout. Dans les années à venir, les bateaux et les avions propulsés par des moteurs électriques deviendront également plus courants.

En Allemagne, la première section de l'autoroute a été activée où certains camions spéciaux peuvent recharger leurs batteries tout en conduisant. Il s'agit d'un tronçon de 5 kilomètres près de Francfort, construit pour explorer le potentiel des soi-disant autoroutes de l’électricité. Les camions se connectent à la source d'alimentation via un pantographe similaire à celui des trains qui dépasse du toit de la cabine. Le processus de connexion et de déconnexion ne prend que quelques secondes et peut être effectué facilement, même à 90 km/h.

Toujours en Allemagne, une technologie similaire est également testée pour les camions hybrides. Il s'appelle eHighway et a été installé entre Weiterstadt et Mörfelden-Walldorf, s'inspirant d'un système suédois. En effet, en Suède, en juin 2016, un tronçon d'autoroute dédié aux camions électriques a été activé. Ces types de camions consomment généralement deux fois moins d'énergie que les camions traditionnels, avec une réduction des émissions de 80/90 %.

Changements dans les habitudes d'approvisionnement énergétique

Environ 13% du nombre total de propriétaires de véhicules particuliers pourraient acheter immédiatement un moyen de transport électrique, sans changer leurs habitudes, en ayant la disponibilité réaliste d'une borne de recharge domestique, et en équilibrant les coûts par rapport à une voiture à essence en moins de 8 ans (avec les incitations actuelles de l'État à l'achat et à la taxe de circulation).

C'est la conclusion d'une enquête menée par des chercheurs du laboratoire MOVE de l'École polytechnique de Milan.

Les résultats ont été obtenus en combinant une analyse des distances, une évaluation économique approfondie de l'achat d'une voiture électrique et une analyse géographique du positionnement du domicile ou de l'entreprise pour quantifier la probabilité d'avoir effectivement un point de recharge domestique (privé ou copropriété).

D'après l'analyse des distances, 50% des véhicules particuliers n'effectuent jamais de trajets quotidiens d'une distance supérieure à l'autonomie de la batterie de la voiture (supposée être d'environ 300 km effectifs), sur l'ensemble de l'année. Cela rend ainsi possible le passage à l'électrique, sans aucun changement d'habitudes, sans aucune limitation d'utilisation.

L'étude a ensuite analysé en détail ces 50% de véhicules fonctionnellement prêts pour le passage à l'électrique, à travers une évaluation économique approfondie (coûts d'achat, coûts de l'énergie, coûts de vignette et d'assurance, dévaluation, etc.) d'une voiture électrique par rapport à un équivalent à essence.

En introduisant cette contrainte, le pourcentage de véhicules totaux du parc automobile ''prêts immédiatement'' pour acheter une voiture électrique a été estimé à 13%.

L'avenir de l'électricité à l'horizon des énergies renouvelables

L'un des objectifs imposés aux États membres par l'Union européenne était d'atteindre 17% de l'énergie produite à partir de sources d'énergie renouvelables, telles que l'énergie solaire et éolienne, d'ici 2020. L'Italie y est largement parvenue en atteignant la part de 17,8% d'énergie propre.

Un résultat surprenant si on pense au nombre de fois où l'Italie a raté d'importantes opportunités de croissance en raison de sa lenteur bureaucratique et du manque d'infrastructures adéquates par rapport aux meilleurs pays de l'UE.

Développer au maximum l'industrie de l'énergie (sources renouvelables), c'est aussi investir dans la mobilité électrique, entendue aujourd'hui non seulement comme voitures électriques mais aussi mobilité urbaine sur scooters, vélos et bus électriques.

Toujours sur le sujet des voitures électriques, il faut noter qu'à court terme elles sont plus durables que celles avec un moteur à combustion interne car elles ne créent pas d'émissions de CO2 locales supplémentaires, ce qui les rend effectivement plus efficaces.

Un moteur électrique, en effet, a un rendement supérieur à 90% contre un maximum de 30% pour un moteur à essence, atteignant 40% grâce à un système hybride essence/électrique.

Du point de vue des émissions gazeuses, l'avantage de la voiture électrique est d'avoir zéro émission à l'échappement, elles sont donc adaptées à un usage en ville, car elles favorisent la réduction du taux de pollution locale, premier danger pour le la santé des citoyens.

Imaginons les grandes villes sans moyens traditionnels mais avec la présence exclusive de transports publics et privés à propulsion électrique.

Nous ne savons pas si le ciel reviendrait au bleu comme il l'était autrefois, également en raison d'autres éléments polluants tels que des systèmes de chauffage domestiques obsolètes, mais l'air deviendrait probablement plus sain et plus respirable à court terme, rendant la ville plus vivable. .

Malheureusement, cependant, tout n'est pas si simple, car s'il est vrai qu'au niveau local les émissions tombent à zéro pour alimenter la voiture électrique quelque part il faut produire de l'électricité, et si la production n'est pas obtenue à partir de sources renouvelables, il ne fait que déplacer la pollution d'un endroit à un autre.

Par conséquent, il est souhaitable que :

• La production d'énergies renouvelables à grande échelle (grandes centrales) peut aider et alimenter le système électrique national ;
• Produire de l'énergie renouvelable domestique, en privilégiant la micro-génération, par exemple notre micro-éolienne verticale, aiderait car cela réduirait la demande d'énergie du réseau central.

Si nous pouvons imaginer des centaines de milliers de bâtiments (maisons et bureaux) alimentés par l'énergie solaire et éolienne domestique, nous pouvons comprendre la quantité d'énergie qui serait moins requise du réseau national, c'est-à-dire l'énergie que nous pouvons soustraire de la production d'énergie à partir de sources fossiles.

LES ENTREPRISES “NOUVELLE GÉNÉRATION” ENTRE ÉLECTRICITÉ ET RENOUVELABLES

Comment les économies de gestion peuvent-elles avoir un effet positif sur les coûts d’utilisation?

Choisir l'option la plus verte dans le secteur des transports rendrait non seulement le voyage plus respectueux de l'environnement, mais aussi moins cher. En fait, les coûts d'entretien et de fonctionnement des camions électriques sont nettement inférieurs à ceux qui fonctionnent à carburant.

Ceci est expliqué par la recherche du DOE’s Lawrence Berkeley National Laboratory et de l'Université de Californie.

Les deux instituts ont pris comme exemple les camions de classe 8 qui avaient encore un moteur à combustion interne et ont étudié les avantages de les remplacer par des homologues électriques.

Considérant alors le coût actuel d'une batterie, qui avec une seule charge garantit une autonomie de 600 kilomètres, ils ont constaté que 13% du coût total de possession serait économisé pour chaque mile parcouru (environ 1,5 km).

Traduit en dollars, cela représenterait 200.000$ d'économies sur la durée de vie du véhicule, dès l'investissement initial.

De plus, la recherche montre également qu'en réduisant les coûts de production des batteries, il pourrait être possible d'économiser jusqu'à 50% du coût total de possession par kilomètre parcouru.

Enfin, Nykvist et Olsson ont fait une autre étude qu'ils exposent dans leur article "La faisabilité des camions électriques à batterie lourde". Concernant le problème des batteries trop lourdes, les deux estiment que les temps que nous vivons sont propices à une accélération de leur développement.

Le but serait de créer des techniques de charge rapide. De cette façon, vous pourriez avoir moins de batteries à bord, les recharger plus souvent mais, soulignent-ils, très rapidement. A cet égard, ils ont montré qu'une recharge rapide à forte puissance permettrait une performance économique qui s'améliore au fur et à mesure que le poids du véhicule électrique augmente.

‍En bref, les économies d'énergie seraient directement proportionnelles à la taille du camion et, c'est-à-dire qu'à mesure que l'un grandit, l'autre grandit également. Par conséquent, si l'on tient compte du transport de conteneurs, qui sont très lourds, cette solution semble vraiment optimale.

Transport intermodal entre la route et l'électricité grâce aux énergies renouvelables

Aujourd'hui, le transport intermodal (également appelé combiné lorsqu'il implique deux ou plusieurs modes, tels que la route, le rail, la mer) s'effectue principalement de deux manières.

Dans le premier cas à l'aide du conteneur qui est accroché de temps à autre, à l'aide d'équipements spécifiques, selon les besoins, sur un camion spécial, sur un wagon de chemin de fer ou sur le pont d'un navire.

Le deuxième cas, surtout utilisé sur des distances moyennes, consiste à charger la marchandise sur une semi-remorque routière. Le transfert de celui-ci vers une gare ferroviaire voisine, le transfert ultérieur par train ou par bateau, vers une gare proche de la destination, et enfin le dernier tronçon, pour effectuer la livraison des marchandises, à nouveau effectuée par la route.

La mobilité durable, tirant parti de l'intermodalité, est devenue l'un des principaux moyens de réduire la pollution de l'air et le bruit, de réduire la consommation d'énergie d'origine fossile, de protéger la santé et les espaces publics.

Les avantages concernent l'environnement, les personnes, l'économie et la société dans son ensemble, car une révolution de la mobilité est capable de déclencher cette transition écologique qui devient de plus en plus urgente.

Nous sommes face à une véritable "révolution copernicienne".

C'est une belle tournure pour le monde du transport et de l'Automobile. Les véhicules électriques ont des règles de sécurité très différentes de celles roulant au diesel, à l'essence ou au méthane et doivent être manipulés avec des précautions particulières. Nous devons donc nous préparer et nous entraîner pour être prêts pour cette nouvelle "révolution".

Le changement culturel auquel nous sommes confrontés nécessite que les différents acteurs, institutions, individus, banques, interagissent entre eux pour créer un système dans lequel chacun peut contribuer avec ce qui lui convient.

L'électrification des transports nécessite des établissements un engagement important dans l'adaptation des infrastructures, qui passe par l'alimentation aérienne, l'alimentation souterraine et celle des colonnes électriques.

Une directive UE, qui a déjà été approuvée, établit qu'à partir de 2025, donc dans quelques années, seuls les camions électriques devront circuler, qui auront des composants et une technologie complètement différents de l'actuel. Plus de moteur, plus de boîte de vitesses, plus de différentiel et plus de freins.

Il est clair que la voie à suivre est celle de l'intermodalité, c'est-à-dire de l'interpénétration de toutes les formes de transport, ainsi que de leur efficacité.

 

Trasauto Logistica et la gestion des trajets au service des consommateurs

Chez Trasauto Logistica, nous avons basé notre travail sur la création et le développement de stratégies pour optimiser le transport de marchandises et éviter le gaspillage en réduisant les kilomètres parcourus par les véhicules routiers.

Une solution simple avec un impact immédiat sur la réduction des émissions de CO2 et le développement d'une logistique plus durable.

Nous croyons fermement que les véhicules électriques sont essentiels pour décarboner les transports et améliorer la qualité de l'air.

Une transformation verte de notre entreprise de logistique et de transport passe également par la digitalisation. Depuis quelque temps, on parle d'un logiciel capable de fournir des mises à jour en temps réel sur la composition correcte d'une charge de fret afin de rationaliser le chargement des camions et des conteneurs.

L'optimisation du plan de charge réduira proportionnellement le nombre de véhicules utilisés aussi, réduisant à la fois les coûts et l'impact environnemental.

Chaque expédition transportée par chemin de fer réduit la consommation d'énergie et contribue à la protection du climat.

En moyenne, en effet, le transport intermodal réduit les émissions de CO2 de 55% par rapport au seul transport routier.

Nous sommes convaincus que chacun doit faire sa part en contribuant à réduire les émissions de CO2.

En ce qui nous concerne, nous prenons des mesures pour développer le transport combiné, en utilisant, entre autres, des véhicules de dernière génération.

Si vous cherchez un partenaire à qui confier vos envois, Trasauto Logistica est le bon choix. Dans notre idée d'entreprise, nous avons toujours eu à cœur la santé de la planète et nous nous sommes toujours engagés à lutter contre la pollution de l'air.

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